La pièce, à mi-chemin entre théâtre physique, performance expérimentale et cri politique, explore les strates profondes du traumatisme à travers le corps, le souffle, l’image et le silence. Il ne s’agit pas de représenter le viol, mais d’en faire ressentir la résonance interne, de l’évoquer par fragments, comme un souvenir impossible à saisir mais omniprésent.
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