Un regard humoristique sur la pratique de la danse. Cette courte pièce est pleine de satire envers le monde de la danse, dénonçant un manque d’originalité et d’exploration.
Sur scène, les trente actrices interprètent et émanent des fragments de la Septième Symphonie de Beethoven. La plupart sont des actrices, mais d’autres sont des interprètes de musique classique.
Tous ensemble forment un orchestre, une chorale, un corps de danse, une communauté, où chacun d’eux est aussi important que la force du groupe et ce qu’ils peuvent faire.
Une rêverie sylphidienne en cascades
Les performances de cette artiste ont un statut de culte. Depuis une décennie, l’artiste brise les limites de genre et les stéréotypes de genre et décompose des récits traditionnels de danse et de théâtre.
Leurs œuvres sont des spectacles d’acrobaties vertigineuses, de corps de femmes musclés et de scènes martiales-arts. Les références pop-culturelles et trash ne sont pas non plus négligés.
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