Bon nombre de pièces de théâtres et spectacles contiennent des passages de nudité publique. Cette pièce raconte de petites blagues entre amis. Jouant sur la biomécanique de pulsions, David Gieselmann explore dans « Monsieur Kolpert » la barbarie profonde de l’humain qui n’a peut être jamais autant affleuré que chez le pithécanthrope contemporain qui, oisif délivré des sujétions vitales, privé de repères et dépourvu de conscience morale, expérimente l’extrême pour tenter de se sentir vivant.
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