26 avril 2024
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Une artiste expose son sexe devant "L'Origine du monde" au musée d'Orsay

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jfreeman
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Une artiste expose son sexe devant "L'Origine du monde" au musée d'Orsay

La performance de Deborah de Robertis a été applaudie, avant de lui valoir une plainte du musée pour "exhibition sexuelle".

Source : http://www.francetvinfo.fr/culture/expos/une-artiste-expose-son-sexe-devant-l-origine-du-monde-au-musee-d-orsay_612535.html

Elle a prêté son visage à L'Origine du monde, de Gustave Courbet. Et pas que son visage.
L'artiste luxembourgeoise Deborah de Robertis a présenté une performance, intitulée Miroir de l'origine,
très remarquée, sous la célèbre et jadis scandaleuse toile du maître, accrochée au Musée d'Orsay (Paris),
jeudi 29 mai. Arrivée sur un Ave Maria de Schubert revisité, précise le site Secondsexe,
la plasticienne s'est assise au sol, dos au tableau, dans une robe dorée, avant de dévoiler entièrement son sexe.

Applaudissements et garde à vue

Dans une vidéo postée sur YouTube, on voit rapidement une gardienne du musée s'approcher
pour lui demander de mettre un terme à sa performance. Devant son silence, elle s'éloigne.
Hors-champ, une autre personne s'exclame "Non, non, non, non !", interrompue par les applaudissements
d'un public qui n'apparaît pas à l'image. L'une des gardiennes se campe ensuite devant elle,
afin de cacher son anatomie, en vain, tandis qu'une autre évacue la salle.

Toujours selon Secondsexe, la direction du musée a appelé la police.
Deborah de Robertis a été placée en garde à vue.
Le procureur de la République a classé l'affaire sans suite et a ordonné un simple rappel à la loi.

Le lien direct pour la video http://video.koi-de-neuf.fr/Artiste-expose-son-sexe.mp4

Message édité par : gilles / 05-06-2014 09:09

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gilles
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On ne peux plus voir la video youtube (censurée)
et voir un autre article à http://secondsexe.com/magazine/le-miroir-de-l-origine.html

Le 29 mai dernier, l'artiste Deborah de Robertis plasticienne, qui travaille sans cesse la question des rapports homme / femme, artiste / galerie, prostituée / client, a choisi d'exposer son sexe au Musée d'Orsay, juste en dessous du tableau de Courbet, l'Origine du monde. Explications.
Salle 20 du Musée d'Orsay. On y voit plusieurs oeuvres, mais une est au centre de la pièce L'Origine du Monde de Courbet. Le 29 mai 2014 à 14h30, le tableau peint par Courbet en 1866, a trouvé un miroir originel et fragmenté. L'incarnation de cette origine, c'est l'artiste Deborah de Robertis. Les fragments du miroir, ce sont ces visiteurs, ces multiples regards qui assistent à une scène unique. Habillée en doré, l'artiste explose le cadre, non moins doré du tableau. Face à une foule de visiteurs, elle marche dignement vers la peinture habitée par l'Ave Maria de Schubert dans l'interprétation de Maria Callas et remixé avec un poème, une révélation :
Je suis l'origine
Je suis toutes les femmes
Tu ne m'as pas vue
Je veux que tu me reconnaisses
« Vierge comme l'eau créatrice du sperme. »
Puis, sous le regard médusé d'une gardienne, elle prend la pose sous le tableau, jambes écartées, incarnant le regard absent du sexe peint par Courbet. Du regard, d'un bleu profond, coulent des larmes dorées, et en ce jour de l'ascension, le visiteur fait peut-être face à une représentation iconique de la vierge ? Ou peut être s'agit-t'il de Marie et Marie-Magdeleine, incarnées en une seule femme ? Sainte ou pute ? Ou bien seulement toutes les femmes ?
« Qui prétend que les anges ne peuvent pas pleurer ? » Paul Claudel Dans une fraction de seconde, le vertige est là, celui de l'essentiel : la vie. La pose évoque l'accouchement de l'enfant « prodigue », l'origine, l'essence même de ce qui nous dépasse : notre venue au monde.
L'instant est court. La gardienne, de noir vêtu, comme un étrange ange de la mort, s'oppose à la vision. Debout, son regard est au niveau du sexe peint par Courbet et ses jambes cherchent à cacher le sexe de l'artiste.
Absurdité de cette mise en abime de la vie et la mort, de la femme, qui choisit d'être objet ou d'être sujet. Qui d'entre la gardienne et l'artiste tient la pose ? Étrange duel, deux forces de femmes s'affrontent, elles s'offrent au regard chacune pointant son arme, l'une, la vulnérabilité, l'autre le pouvoir.
L'ange noir, contre l'ange blanc. Face à face, sous le regard du sexe peint par Gustave Courbet, présent dans la pièce parmi les visiteurs.
À l'ordre autoritaire adressé par la gardienne à l'artiste de cesser d'exposer son sexe, et aux visiteurs de détourner le regard et de quitter la salle, personne ne bouge, tout le monde reste figé, captivé. La gardienne dépassée passe de la foule à l'artiste, dévoilant ainsi le sexe de Deborah de Robertis, devenant ainsi complice de ce qu'elle considère comme illicite. La scène se joue et se rejoue. Une autre gardienne arrive, les visiteurs du musée applaudissent, on entend des « bravos », peut-être réponse sonore à la « Joie » dans le sens biblique du terme ?
Il faudra attendre le service d'ordre pour que la salle soit vidée malgré elle d'un des fragments du miroir, les visiteurs, devenant acteurs malgré eux. La scène se renverse, alors que les visiteurs sont mis dehors, l'autre fragment essentiel du miroir, l'artiste, restant intouchée devient oeuvre. La censure des gardiens, voulant interdire le sexe, produit l'effet inverse et sacralise la pose de l'artiste.
Immobile, l'artiste assise sous le tableau du maître, est enfermée en « hors la loi », comme si elle était une bombe.
S'il s'agît bien d'une explosion, c'est celle à la fois du cadre du tableau et du sexe peint par Gustave Courbet.
Qui est l'objet : la femme ou le tableau ?
Qui est le maître, qui est l'élève ?
Qui est l'original qui est la copie ?
Qui est l'ange blanc, qui est l'ange noir ?
Comme Deborah de Robertis l'affirme : « Il y a un « trou » dans l'histoire de l'art, le point de vue absent de l'objet du regard. Dans sa peinture réaliste, le peintre montre des cuisses ouvertes, mais le sexe reste fermé. Il ne dévoile pas le trou, c'est-à-dire, l'oeil. Je ne montre pas mon sexe, mais je dévoile ce que l'on ne voit pas dans le tableau, l'oeil du sexe, le trou noir, cet oeil enfoui, ce néant, qui au-delà de la chair répond à l'infini insoutenable, l'origine de l'origine. Face à la surexposition du sexe dans notre monde contemporain, il n'y a plus rien à dévoiler, sauf l'annonce d'un monde nouveau où les grands maîtres se laissent regarder par les femmes. Je propose le miroir inversé du tableau de Courbet, qui nous rappelle que l'histoire se raconte dans le deux. »
Elle nous invite ainsi à poser un nouveau miroir devant le tableau de Courbet : est-il réaliste ? Un trompe l'oeil ?
En redonnant un regard au modèle de Courbet, elle incarne toutes les femmes, comme elle nous y a justement invité dans son incantation et soulève malgré-elle la question de la « Loi ». Malgré-elle, tant il est difficile d'associer l'idée d'une quelconque transgression à son l'acte si pur, juste, virginal, évident. Pourtant la suite de l'histoire est bien celle d'une confrontation à la « Loi ». Mais de quelle loi s'agit-il ? Celle fixée par notre démocratie ou celle transcendantale de notre présence au monde ?
La suite de l'histoire en dit long. La police arrive dans le musée et emmène Deborah de Robertis au commissariat. Certes il n'y avait pas de menottes, mais la police répond à la « plainte ».
Celle juridique de la gardienne du musée et de son président qui « victime » d'une « infraction » préviennent l'autorité compétente.
Celle peut-être spirituelle de l'artiste, qui victime du « juridique » évoque le Psaume de David :
« Seigneur, écoute la justice !
Entends ma plainte, accueille ma prière :
Mes lèvres ne mentent pas. »
À l'accusation « d'exhibition sexuelle », Deborah des Robertis défend son point de vue. Ce « point de vue » est peut-être justement celui que l'on a retiré à toutes ces femmes : objets, modèles, employées (gardienne notamment au Musée d'Orsay), mannequins publicitaires, stars du festival de Cannes, actrices de films pornographiques, papier glacé des magazines, papier mâché, digéré, recraché, avalé dans l'indifférence la plus complète d'une société devenue aveugle, qui pourtant décide de la mettre en « garde-à-vue ».
« À vue ». La position de l'artiste devient alors visible explosant non seulement le cadre du tableau, mais bien la petite salle 20 du Musée d'Orsay, pour faire oeuvre et devenir publique, politique, historique, emblématique.
Une question centrale, celle du regard, notre regard, votre regard.
Dans le face à face entre les officiers de police et l'artiste, seront soulevées bien des questions qui nous concernent tous.
Des questions juridiques avec l'opposition de nos libertés fondamentales inscrites dans La déclaration universelle des droits de l'Homme :
Article 19 :
Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression.
Article 29.2 :
2. Dans l'exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n'est soumis qu'aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique.
Des questions sociétales liées à la définition de « la morale ».
Peut-on regarder en famille le tableau de Courbet sans être averti à l'entrée du caractère sexuel du tableau ? Doit-on regarder les yeux de Deborah de Robertis et sa posture mimétique du tableau en appelant la police ?
Quand commence et finit l'exhibition sexuelle ? Sur Internet, dans le film porno du samedi soir, devant sa porte d'entrée un soir à minuit face à un fou maniaque ou bien dans l'oeuvre d'une artiste sous le regard de Courbet ?
Des questions artistiques. Quels sont les critères pour juger de la notion d'oeuvre d'art ? Où commence la censure ? On pense évidemment à la polémique sur le tableau de Courbet peint en 1866, au procès de Brancusi contre les Etats unis en 1927 et à celui qui aurait pu advenir à Deborah de Robertis en 2014.
Le procureur de la République s'est rappelé qu'un siècle était passé et a finalement « classé sans suite avec rappel à la loi ».
« Rappel à la Loi » de la République certes, mais également à la loi suprême, qui nous renvoie au mystère de « l'Origine du monde », de notre l'origine, de la vie, de la mort, nous rappelant que de la poussière nous retournerons à la poussière.
Vertige des vertiges. Ange blanc, ange noir. Doit-on respecter les lois de l'univers ou celles fixées par l'humain ?
En prenant la pose, elle sort de l'image, elle incarne la vie et l'expose au monde.
Qu'est-ce que le musée d'Orsay veut-il cacher en attaquant l'artiste pour exhibition sexuelle : le sexe de l'artiste ou l'exposition de sa propre censure ? La réponse dérangeante de Deborah de Robertis met à nu :
« À tous, vous avez vu le miroir de l'Origine, moi je vous ai vu ».

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PhilE
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Je serai intéressé à voir comment l'exhibition sexuelle peut être plaidée. Exhibition: oui. D'ailleurs, en anglais, une exposition de peinture, ça se dit exhibition. Sexuelle? ça peut se discuter. Imposée à la vue d'autrui: c'est là que la discussion sera intéressante. Comment arguer qu'un public qui regarde un tableau représentant explicitement un sexe féminin puisse être choqué par exactement la même posture? C'est le musée qui a porté plainte, pas les visiteurs. Et j'ai lu dans le Dalloz qu'il importe que ce soit la personne victime elle-même de l'exhibition sexuelle qui porte plainte.

Rappel à la loi: normalement, elle va être convoquée devant un délégué du procureur, à qui elle va probablement dire "c'est une infraction? alors poursuivez-moi si vous êtes un homme", ce que se gardera de faire le procureur.
(Rappelons que l'autre jour, Stephen Cohen, avec son coq attaché au sexe, et en pleine rue, pas devant un tableau représentant explicitement un sexe, a été "condamné à une dispense de peine" :#).

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Nudiworld
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Un musée qui n'est pas capable d'assumer l'exhibition d'une peinture, devrait être obligé de le revendre.

J'ajoute, que vu les mentalités dans notre pays, les oeuvres représentant des nus, ne sont pas convenablement appréciés; et que s'ils étaient dans d'autres pays, ils seraient bien mieux mis en valeur.
Et comme la France est très endettée, la vente de ces oeuvres nous rapporterait un peu d'argent, ce qui nous manque tant, avec tous ces censeurs, qui feraient bien mieux de s'occuper d'économie et d'emplois, plutôt que consacrer leur temps à entraver les réalités de l'être humain.

Message édité par : Nudiworld / 03-06-2014 07:56

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PhilE
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le problème dans cette affaire est qu'une sorte de "chaine" contraint les uns et les autres à agir.

Les gardiens, bien que ce ne soit qu'un boulot de surveillance, ont en général fait des études d'histoire de l'art. La nudité, ils en sont familiers, il se peut même qu'ils aient eux-mêmes posé lors d'ateliers de dessin ou peinture.
Mais ils sont obligés d'intervenir parce que telle est la consigne.

Au-dessus, le musée est aussi obligé d'appeler les forces de l'ordre, car au cas où un des spectateurs aurait porté plainte (on ne sait jamais, il y a des gens qui vont par exemple voir un spectacle comportant de la nudité, ils le savent très bien, rien que pour pouvoir se plaindre), le musée aurait été pris en défaut de sa mission d'assurer l'ordre.
La police se doit d'intervenir si on l'appelle.
Le procureur se doit de réagir, alors que dans mon for intérieur, je suis persuadé que le procureur réalise le ridicule de donner suite à une plainte pour exhibition sexuelle alors qu'aucun spectateur ne se plaint et qu'ils sont, en toute connaissance de cause, devant un tableau représentant de façon on ne peut plus explicite un sexe féminin.
Tout ça est comme un jeu de rôles.

Là où peut-être il y a un acteur qui a sur-joué, c'est le musée en portant plainte. Ils auraient pu se contenter d'appeler la police, qui aurait simplement évacué la "performeuse".

Nudiworld "Un musée qui n'est pas capable d'assumer l'exhibition d'une peinture, devrait être obligé de la revendre".
Le musée assume très bien l'exhibition de cette peinture!
C'est l'exhibition (au sens "exposition de musée") de la femme qui s'est mise devant le tableau que le musée a dû gérer.
Quant à vendre le patrimoine "les bijoux de famille", c'est le cas de le dire!, le patrimoine national est inaliénable. Un tel tableau est de facto invendable. C'est pourquoi quand des organisations comme la Mafia volent un tableau, ils ne le vendent pas (pas même à un oligarque russe ou un émir ou même un narcotrafiquant), ils en demandent rançon contre restitution.

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thiver
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Certainement qu'il faudrait plus d'actions comme celle de cette artiste, Deborah de Robertis.

La non-violence pour mettre les censeurs devant leurs contradictions, d'un côté ils exibent une création artistique et de l'autre, ils veulent interdire ce qui a permis cette création.

La pudibonderie est une violence contre le corps donc contre l'individu.

Et si cette pudibonderie est imposée à l'Autre, elle devient une violence contre l'Autre.

Message édité par : thiver / 03-06-2014 10:22

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Site easy-rencontres naturistes

PhilE
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Thiver, la pudibonderie me sort par les trous de nez, mais je me garde quand même d'employer les mêmes termes que ceux qui disent que la vue de la nudité leur est imposée et est une agression.

Pour moi, la pudibonderie relève de l'idiotie et du trouble psychique.
Que les autres soient pudibonds, c'est LEUR problème.
Mais là où ça me gêne, c'est quand ils entendent imposer aux autres d'être eux aussi pudibonds.

Je vais faire un rapprochement: l'homosexualité des autres ne me gêne nullement, chacun doit pouvoir vivre sa sexualité selon ses inclinations.
Je trouverais en effet que ce serait une violence que d'imposer aux autres d'être homosexuels (mais qui y songe?!)
Je trouve que des gens soient horrifiés par l'homosexualité des autres, c'est LEUR problème, c'est un trouble psychique mais je ne suis pas psychiatre et ce n'est pas à moi de les soigner (d'autant plus qu'ils le refusent, ils sont persuadés d'être dans le Vrai).
Mais là où ça devient problématique, c'est quand ils veulent imposer aux autres leur façon de voir, et interdire (réprimer, ou tout simplement discriminer en n'accordant pas les mêmes droits) les homosexuels.
C'est bien sûr une violence contre les homosexuels, mais c'est aussi une violence contre la liberté, et là, même si je ne suis pas homosexuel, je suis concerné, parce que la liberté, l'égalité des droits, le respect, ce sont des valeurs pour lesquelles je me bats.

Donc, pour résumer: la pudibonderie, tant qu'ils ne cherchent pas à l'imposer, c'est leur problème, et quand ils entendent l'imposer, il faut les combattre.
Et là, même si l'on n'est pas naturiste: il s'agit quand même de la liberté, que diable!

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desinscrit77
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Je pense que la même chose avec une personne posant nue dans la même position que le modèle aurait été mieux perçue à condition de l'expliquer: là il y a visiblement un désir délibéré d'exhiber son sexe!

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Filmé en 2010 lors de la plus belle des wnbr de brighton en HD le film sort fin septembre 2022

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Posté par: @PhilE

le patrimoine national est inaliénable. Un tel tableau est de facto invendable.  

ça c'est la théorie.
Es-tu au courant qu'il y a actuellement une exposition au Louvre qui s'appelle Louvre Abou Dhabi où sont exposés des oeuvres d'art et des objets du pratrimoine, qui sont en partance définitive pour un pays du golfe qui a payé pour ça.

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PhilE
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Posté par: @goofy

Posté par: @PhilE

le patrimoine national est inaliénable. Un tel tableau est de facto invendable.  

ça c'est la théorie.
Es-tu au courant qu'il y a actuellement une exposition au Louvre qui s'appelle Louvre Abou Dhabi où sont exposés des oeuvres d'art et des objets du pratrimoine, qui sont en partance définitive pour un pays du golfe qui a payé pour ça. 

Non. Le Louvre à Abu Dhabi est une antenne du Louvre, comme il y en a une à Lens. Les oeuvres exposées là ne sont pas la propriété de l'émirat, elles restent la totale propriété du Louvre, établissement public français.

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raulmadrid
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mon commentaire va etre tres court....

" on peux dire que cette fille 'a des couilles ' "

:#
😮
Grin :b
:=!

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fredericdromois
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" on peux dire que cette fille 'a des couilles ' "

Je ne sais pas :# :#
Pas du tout :# :# :#

La photo est floue 😀

Fred.

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