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SAUVAGE Le chœur anthropologique se dirige vers le primitif, dans un retour à la pensée sauvage avec la perception de la cosmopolitique indigène, qui nous révèle aujourd’hui l’urgence de cesser la prédation et le traumatisme social du capitalisme, du patriarcat et de l’anthropocène qui traversent les continents et les siècles porteurs de la mythologie du Progrès à tout prix.Nous avons pratiqué en ce début de siècle la haine de tout ce qui n’est pas moi – et le couteau fin de l’intolérance a en effet coupé des têtes.

Qu’est-ce que la frénésie dionysiaque aujourd’hui ? Qui sont les Bacchantes et quel est le but d’une telle expérience aujourd’hui – telles sont les questions que nous nous sommes posées au début de l’œuvre. La survie cathartique, l’extase, la purification sont-elles possibles aujourd’hui ? Ces concepts étaient réservés aux expériences religieuses, aujourd’hui ils sont plus associés à des concerts, des drogues, des expériences avec des états modifiés de conscience.

Nous sommes appelés à célébrer la vie, à ressentir la mort périnatale, à nous rebeller contre la violence obstétricale et à nous abandonner aux pouvoirs de l’accouchement : l’origine du monde.

C’est la fusion extravagante de la danse contemporaine et de la musique contemporaine.

Le travail va immédiatement droit au but, c’est-à-dire dépouiller les rôles, les comportements et les vêtements, et apprendre à connaître la personne elle-même sous tout le tapage que la société a mis en place.

Nous avons l’habitude de regarder le monde à travers une idéologie; qui prétend être la clé du sens de la vie, mais n’est en fait rien d’autre qu’un effort désespéré pour rationaliser l’incompréhensibilité de l’être. Aucune réalité ne correspond à une idéologie. La vie est au-delà de cela.

C’est ici qu’ils cherchent et renforcent une tentative de dialogue par la répétition, accumulant les erreurs et amplifiant la confrontation avec la réalité de l’autre. Vidéo du spectacle complet de 1h à la suite

Un exercice vital de nudité féminine incarnée, de force et de résistance contre l’écoulement massif d’un canon à eau, avec l’axe monumental de Brasilia en toile de fond. Selon les propres mots de l’artiste :

Je sors mon tissu, je me place nue, le dos tourné vers le mur extérieur du musée. Je demande aux hommes de tourner la pression dans le tuyau à son plus haut niveau. Le corps intime le flux d’eau et établit un lieu de combat. L’écoulement de l’eau comprime, déforme la chair : surface contre surface, espace d’incidence sur lequel les choses se produisent dans leur matérialité, en fonction de leur limite par rapport à l’espace.

Contraposition: être contre comme un moyen d’engendrer avec tact (com-tato), créant des zones d’adhérence. Corps contre le concept. Concept contre Concept. Corps contre corps. La vulnérabilité de le laisser couler, de laisser le corps vibrer contre l’organisme. Peau d’eau, peau de flux, peau d’air, presque rien, une flaque d’eau sur le sol.

Les 13 interprètes (choisis parmi les personnes qui assistent à l’atelier) sont totalement nus, la tête transformée par le maquillage afin que chacun d’eux ait un sexe différent du corps auquel il appartient.

A Londres, cette organisation offre différents espaces non conventionnels de part son approche et sa mise en place, car chaque artiste de studio a l’utilisation d’un grand espace commun, avec l’option d’un espace de bureau permanent.

L’espace est disponible sur une base d’échelle mobile. Cela signifie que les artistes sont en mesure de « payer ce qu’ils peuvent . 3 jeunes artistes sont nus dans une pièce parmi des spectateurs

Danser son chemin à travers l’histoire et son histoire. Marquer l’archive et la laisser la marquer.  Tel est le synopsys de cette artiste écrivaine qui est axée sur la recherche et basée à Scarborough, dans le Yorkshire du Nord. Elle réalise des œuvres d’art visuelles et vivantes qui explorent la race et les vulnérabilités des corps, les qualités tactiles et sensorielles du langage et remettent en question les structures de soins dans les institutions.

Que ce qui y était fermé, s’épanouisse comme un lys au printemps, que ce qui y était resté suspendu et enflammé, s’étende comme un écho grandiose plein de force, que ce que nous laissons sur la route, nous aide à continuer plus léger, que l’amour l’emporte sincèrement profondément et honnêtement, en vous et en tous nos compagnons.

La pièce est un voyage dans le temps d’au moins trois générations d’une famille. Ils sont « pères, mères, enfants et chiens » qui pourraient faire partie de n’importe famille ordinaire, dans n’importe quelle ville du monde.

Rien de spécial ne se passe. Il n’y a pas de grands événements, seuls les événements clés qui déterminent les trajectoires prosaïques de la vie des personnages.

L’artiste s’intéresse aux formes dans lesquelles nous pouvons matérialiser dans le corps et la subjectivité, diverses formes de relation avec l’autre, humains et non-humains, entre générations, pour combattre l’exploitation systémique dans laquelle nous vivons.

un groupe commercial lié au vin demande un calendrier à une célèbre artiste qui réalisé également un clip video à cette occasion

De cette façon, l’œuvre nous invite à nous interroger sur la façon dont nous habitons l’espace virtuel d’Internet et des réseaux sociaux, où toute division entre le privé et le public est éliminée.Maintenant qu’il nous est impossible de nous dissocier de la technologie, les téléphones portables et les appareils photo apparaissent comme des extensions de nos corporéités.

L’ensemble de la performance est capté par l’œil attentif d’Arthur, dont la réalisation vidéo permet de fixer ces instants intenses et de les rendre accessibles au-delà de la scène. La captation vidéo amplifie l’impact de l’œuvre, en permettant au public de revisiter chaque détail et de replonger dans cet univers à la fois fascinant et terrifiant.

Cette pièce est une sorte de rituel pour renouveler et renforcer le corps de l’artiste. Après huit ans de douleurs chroniques pelviennes et une chirurgie réussie, elle est prête à briser toutes les frontières et les mécanismes physiques et mentaux qu’elle a créés pour prévenir et lutter contre la douleur.

Dans un coup de génie promotionnel, le musée d’art, en l’honneur de sa nouvelle exposition qui a ouvert ses portes ce week-end, a proposé d’accueillir la fête de départ de la World Naked Bike Ride, puis est allé plus loin: laisser les coureurs entrer sous une entrée coulissante « payez ce que vous portez » – un dollar par vêtement sur votre corps, ou gratuit pour la nudité complete (chaussures exceptées).

Les personnages nus battent leurs corps avec des callas blanches et la cadence rythmique de l’indignation marque le moment de l’action. Une plate-forme haute, placée au centre de l’espace, évoque symboliquement l’ascension vers le ciel et la descente aux enfers.